CHARTE SCIENTIFIQUE ET MORALE DU NATIOMÈTRE

Société Internationale de Natiométrie (SIN)

Fonds International de Dotation pour la Natiométrie (FIDN)

Adoptée à Genève, le 17 octobre 2025

PRÉAMBULE

Considérant que les nations, les civilisations et les cultures constituent des organismes vivants au sein d’un champ global de résonance humaine ;

Considérant que l’équilibre, la stabilité et la paix structurelle des sociétés dépendent d’une compréhension scientifique de leurs dynamiques internes et relationnelles ;

Considérant que la Natiométrie, en tant que discipline émergente, propose de mesurer, modéliser et harmoniser ces dynamiques à travers des lois objectives et des principes éthiques universels ;

Considérant enfin que la science, sans conscience, n’est qu’une puissance aveugle, et que la connaissance doit s’ordonner à la sagesse et à la dignité de la vie ;

La Société Internationale de Natiométrie (SIN) et le Fonds International de Dotation pour la Natiométrie (FIDN) adoptent la présente Charte scientifique et morale du Natiomètre, comme fondement de la science de la stabilité et de la conscience civilisationnelle.

I. PRINCIPES UNIVERSELS :

Article 1 – De la nature du Natiomètre

Le Natiomètre est un instrument scientifique, philosophique et moral destiné à mesurer la cohérence, la vitalité et la résonance civilisationnelle des nations.
Il repose sur la formalisation du champ natiométrique, expression des forces organiques, culturelles et systémiques qui structurent le devenir collectif de l’humanité.

Article 2 – De la finalité scientifique

La finalité du Natiomètre n’est pas la domination par la donnée, mais la compréhension du sens.
Il ne vise pas à prévoir mécaniquement le destin des peuples, mais à révéler les lois naturelles de leur équilibre, de leur maturité et de leur interdépendance.

Article 3 – De la loi d’évolution civilisationnelle

Toute nation évolue selon une loi de dynamique propre, régie par des cycles, des transitions et des symétries.
La Natiométrie en formalise les équations à travers le cadran civilisationnel et la constante de Natiométrie (ℏₙ), qui représente le quantum d’action civilisationnelle mesurable.

Article 4 – De la conscience universelle

La Natiométrie reconnaît l’existence d’un champ de conscience civilisationnelle — matrice d’interactions entre les champs culturels, psychiques et historiques — au sein duquel les nations se forment, se transforment et coopèrent.
Le Natiomètre est la boussole scientifique de cette conscience universelle.

II. ÉTHIQUE DE LA MESURE ET DE LA CONNAISSANCE :

Article 5 – Du respect de la dignité civilisationnelle

Toute mesure natiométrique doit être conduite dans le respect absolu de la dignité des peuples, des cultures et des héritages historiques.
La donnée natiométrique n’est jamais un outil de hiérarchisation, mais de compréhension mutuelle et de stabilisation collective.

Article 6 – De la neutralité scientifique

Les chercheurs et institutions affiliés à la Natiométrie s’engagent à préserver la neutralité, l’objectivité et la transparence des modèles et algorithmes utilisés.
Aucune manipulation politique, économique ou idéologique ne saurait interférer avec la structure du champ scientifique natiométrique.

Article 7 – De la vérité et du sens

La science du Natiomètre ne cherche pas la vérité dans l’absolu, mais dans la cohérence des systèmes vivants.
La vérité natiométrique se mesure à sa capacité à favoriser la paix, la justice et la lucidité collective.

Article 8 – Du secret et de la responsabilité des données

Les données issues du Natiomètre constituent un patrimoine cognitif universel.
Elles doivent être conservées, analysées et partagées sous la garde du Fonds International de Dotation pour la Natiométrie, selon des protocoles de sécurité, de traçabilité et de certification éthique.

III. RESPONSABILITÉ SCIENTIFIQUE ET HUMANISTE :

Article 9 – Du chercheur natiométrique

Le chercheur natiométrique est un médiateur entre la connaissance et la conscience.
Il œuvre à la fois comme scientifique, philosophe et diplomate du réel, et se conforme à un code moral fondé sur la vérité, la justice et la paix des nations.

Article 10 – Du devoir d’intégrité

Tout acteur du système natiométrique (chercheur, auditeur, partenaire institutionnel) s’engage à préserver la pureté du champ de recherche et à éviter toute instrumentalisation du Natiomètre à des fins de domination, de propagande ou de spéculation.

Article 11 – De la responsabilité intergénérationnelle

Le Natiomètre appartient à l’humanité dans sa continuité historique.
Chaque mesure, chaque modèle, chaque rapport doit être conçu en vue de transmettre un monde plus stable, plus lucide et plus juste aux générations futures.

Article 12 – De la souveraineté de la conscience

La conscience humaine demeure la source et la finalité de toute science.
Le Natiomètre n’est pas un substitut à la sagesse : il en est le prolongement méthodique.
L’homme n’est pas mesuré par la machine, mais éclairé par la connaissance qu’il en tire.

IV. DE LA GOUVERNANCE SCIENTIFIQUE ET ÉTHIQUE :

Article 13 – Du Conseil scientifique de la Natiométrie

Un Conseil scientifique et éthique permanent est institué sous la tutelle de la Société Internationale de Natiométrie (SIN).
Il veille à la conformité des recherches, à la qualité des publications et à la certification éthique des projets soutenus par le FIDN.

Article 14 – De la veille civilisationnelle

La Charte institue un Observatoire de la Stabilité Civilisationnelle, chargé de publier annuellement un Rapport mondial sur l’état du champ civilisationnel, établi à partir des données du Natiomètre et du M.E.I.C.

Article 15 – Du principe de révision

La présente Charte peut être révisée par décision conjointe du Conseil scientifique de la SIN et du Conseil d’administration du FIDN, en séance plénière, à la majorité des deux tiers, conformément à l’évolution de la science et de la conscience humaine.

V. CONCLUSION : LE SERMENT DU NATIOMÈTRE :

Nous, signataires de la présente Charte,
Affirmons que la Natiométrie ne saurait être un simple outil d’analyse,
mais une discipline de conscience,
où la mesure devient langage,
et la connaissance, lumière.

Nous reconnaissons dans le Natiomètre la première boussole civilisationnelle du monde contemporain,
un instrument de paix, d’équilibre et de dignité pour les peuples,
et un engagement solennel envers la vérité vivante des nations.