Depuis les débuts de la quête humaine pour comprendre l’univers, les sciences se sont principalement concentrées sur deux grandes dimensions : l’infiniment grand, qui explore le cosmos et ses mystères, et l’infiniment petit, qui dévoile les particules fondamentales de la matière. Cependant, une dimension essentielle semble avoir été négligée : l’infiniment horizontal. Ce concept, introduit par la Natiométrie, se propose comme le chaînon manquant pour relier les sciences humaines et sociales aux sciences exactes. En examinant les dynamiques énergétiques, vibratoires et temporelles des nations, l’infiniment horizontal offre une nouvelle perspective sur les systèmes humains.
I. L’énergie des nations : Une dynamique propre
Chaque nation peut être vue comme un système énergétique complexe. Cette énergie n’est pas seulement physique ou économique, mais englobe également des forces culturelles, sociales et symboliques.
- Les ressources culturelles et historiques : L’histoire d’une nation, ses mythes fondateurs et ses valeurs partagées contribuent à une énergie collective unique. Par exemple, une nation dotée d’une forte mémoire historique peut mobiliser cette énergie pour renforcer son unité et relever des défis collectifs.
- Le rôle du Natiomètre : En mesurant ces dynamiques énergétiques, le Natiomètre devient un outil pour identifier les déséquilibres ou les forces latentes d’une nation. Il peut ainsi proposer des solutions pour renforcer la résilience et la stabilité nationales.
L’approche énergétique introduit une vision holistique des systèmes humains, où chaque nation est perçue comme un écosystème dynamique et interconnecté.
II. Les fréquences et vibrations sociales : Harmonie et dissonance
Les sociétés humaines fonctionnent comme des orchestres, chaque groupe ou individu jouant une note qui contribue à la symphonie collective. Lorsque les fréquences sociales sont en harmonie, une société prospère. En revanche, les dissonances peuvent mener à des crises.
- La métaphore musicale : Une nation harmonieuse est comme un instrument bien accordé, produisant des fréquences stables et agréables. Les conflits, les inégalités ou les crises politiques introduisent des vibrations discordantes qui perturbent cette harmonie.
- Le rôle du Natiomètre : Grâce à son aptitude à analyser les "vibrations" sociales, le Natiomètre peut détecter les zones de dissonance et proposer des ajustements pour rétablir une fréquence collective optimale. Cette capacité est cruciale pour la gouvernance, l’éducation et la gestion des crises sociales.
En permettant d’appréhender les sociétés sous l’angle des fréquences et des vibrations, l’infiniment horizontal offre un cadre inédit pour résoudre les tensions humaines.
III. La temporalité collective : Le temps comme variable centrale
Contrairement aux sciences traditionnelles qui privilégient l’instantanéité ou les longues durées cosmologiques, l’infiniment horizontal met en lumière la temporalité humaine, faite de cycles, d’évolutions et de ruptures.
- Cycles historiques et ruptures temporelles : Les nations traversent des périodes de croissance, de stagnation et de transformation. Ces cycles, bien que souvent imprévisibles, peuvent être analysés pour mieux anticiper l’avenir.
- Le Natiomètre comme boussole temporelle : En intégrant la dimension temporelle dans son analyse, le Natiomètre permet aux nations de mieux se projeter dans le futur. Il offre une vision globale des trajectoires historiques et aide à définir des orientations stratégiques.
Cette approche rend le temps humain mesurable et modélisable, offrant aux décideurs un outil unique pour planifier et anticiper.
IV. L’infiniment horizontal : Le pont entre sciences humaines et exactes
En proposant une méthodologie interdisciplinaire, l’infiniment horizontal transcende les barrières traditionnelles entre les sciences exactes et les sciences humaines.
- Une vision systémique : Les sciences exactes apportent des outils de mesure et de modélisation, tandis que les sciences humaines offrent une compréhension profonde des dynamiques sociales et culturelles. L’infiniment horizontal réunit ces perspectives pour créer une approche véritablement globale.
- La place centrale de la Natiométrie : En tant que discipline scientifique émergente, la Natiométrie structure l’étude de l’infiniment horizontal. Elle formalise des concepts auparavant inaccessibles et les rend exploitables grâce à des outils comme le Natiomètre.
Cette approche ouvre la voie à une nouvelle ère scientifique, où les sciences humaines gagnent en rigueur et en utilité pratique, tout en enrichissant les sciences exactes par une compréhension plus fine de l’humain.
Conclusion : Une vision pour le futur
L’infiniment horizontal, en tant que dimension manquante, comble un vide essentiel dans la compréhension des systèmes humains. En mettant en lumière les énergies des nations, leurs fréquences sociales et leur temporalité collective, il établit un cadre novateur pour explorer la complexité des sociétés. Le Natiomètre et la Natiométrie, en tant qu’instruments et discipline respectivement, sont au cœur de cette révolution scientifique.
Ce nouveau champ de recherche marque un tournant majeur, non seulement pour les sciences humaines et sociales, mais pour l’ensemble du savoir universel. Il rappelle que pour comprendre l’humanité, il faut embrasser toutes ses dimensions : l’infiniment grand, l’infiniment petit, et désormais, l’infiniment horizontal.
Amirouche LAMRANI.
Chercheur associé au GISNT.