1. Rappel du principe général
La matrice de Killing K ( X , Y ) d'une algèbre de Lie est définie par :
Intuitivement :
La matrice de Killing mesure la "courbure interne" de l'algèbre : elle indique comment les directions internes de l'algèbre interagissent et se plient entre elles.
2. Les générateurs de base
On dispose de trois familles de générateurs :
Donc :
Nombre total de générateurs : 8 + 8 + 28 = 44
3. Structure des Commutateurs Simplifiés
Rappel rapide :
4. Forme générale de la Matrice de Killing
La matrice KK aura une forme par blocs correspondant aux trois familles :
5. Propriétés générales des blocs
6. Schéma visuel simplifié
Un schéma de la structure serait :
| R - R | R - I | R - T |
| I - R | I - I | I - T |
| T - R | T - I | T - T |
Avec :
-
: Commutateurs créant transitions,
-
I : Indépendants sauf sur soi-même,
-
T : Transition de transitions,
-
Couplages croisés relativement simples au premier ordre.
7. Exemple concret : blocs élémentaires
Exemple 1 (Rotation–Rotation) :
Exemple 2 (Rotation–Inversion) :
Mais :
Exemple 3 (Transition–Transition) :
sinon 0.
8. Que signifie cette matrice de Killing dans notre contexte ?
-
Elle mesure la cohérence interne des mutations civilisationnelles,
-
Une matrice de Killing non dégénérée (déterminant non nul) signale une algèbre semi-simple, comme E₈,
-
C'est l'indice mathématique que notre structure est bien "vivante", puissante et potentiellement unificatrice pour décrire les phénomènes de naissance, croissance, crise, et transformation des nations.
Conclusion
Nous avons posé les bases de la matrice de Killing embryonnaire du Natiomètre, adaptée à ses 44 générateurs initiaux.