La question posée par le professeur Nourddine MELIKECHI, concernant l'importance de données input du natiomètre : " comment arriver à introduire des données qui ne seraient pas subjectives ?".
Voici notre réponse :
La technologie du Natiomètre sera déployée aux quatre coins de la planète grâce à une infrastructure numérique structurée sous forme d’un réseau d’unités de calcul intensif et de simulation numérique. Au centre de ce réseau se trouvera le Natiomètre étalon, une unité de calcul principale qui sera installée à Genève et qui sera reliée à 200 unités de calcul propres à chaque pays membre de l’Organisation des Nations Unies.
À ce réseau de calcul s’ajouteront des terminaux d’utilisation adaptés à chaque cas d’usage et aux différentes catégories d’utilisateurs, notamment les institutions publiques, les établissements de recherche, les entreprises économiques et le grand public. Ces terminaux seront équipés de capteurs physiques, de tableaux de bord interactifs, de fonctionnalités spécifiques ainsi que de bases de données propres à chaque terminal.
Ces terminaux, qui fonctionneront à la fois comme émetteurs et récepteurs de données, auront pour rôle d’alimenter le réseau central en données tout en recevant en retour les résultats des calculs effectués. L’ensemble du système sera également connecté aux banques de données disponibles en ligne, garantissant un accès à des informations actualisées et pertinentes en temps réel.
Grâce à cette architecture, le Natiomètre pourra collecter et traiter des données objectives, physiques et mesurables, permettant ainsi une analyse rigoureuse et fiable des phénomènes liés à la Nation".
Amirouche LAMRANI.