Introduction :
Dans l’immensité de l’histoire de l’humanité, il est des moments où les événements et les cycles cosmiques semblent se rejoindre dans une convergence parfaite, comme si l’univers lui-même avait tissé les fils du destin à travers les âges. En étudiant l’évolution des nations et des civilisations à travers le prisme du Natiomètre, une telle convergence se révèle dans le Cycle d’Évolution des Nations, modèle quantique et technologique que nous avons élaboré, liant la dynamique des peuples aux oscillations cosmiques, notamment l’inversion des pôles magnétiques solaires. À partir de ce modèle, nous choisissons une date fondamentale, celle de l’année 1988, pour marquer le MIDI du cycle, et l’année 2020 pour en désigner le quart à 3 heures.
L’idée du Natiomètre repose sur une représentation scientifique de la nation en tant que méta-système, influencé par des dynamiques cosmiques. Le cadran du Natiomètre se divise en cycles successifs, marqués par des transitions énergétiques qui correspondent aux changements dans les forces sociétales, géopolitiques, et même écologiques. La position de chaque nation sur ce cadran témoigne de son stade d’évolution, une oscillation entre le réveil et la déclin, dictée par la rencontre entre l’esprit humain et les flux énergétiques universels.
1. Le MIDI : 1988 — Le Point de Transition.
L’année 1988, au cœur de la guerre froide et des tensions géopolitiques entre l’Est et l’Ouest, représente le MIDI du cycle. Il s’agit du moment où les nations s’approchent d’un point de saturation des forces politiques, économiques, et idéologiques. Les événements marquants de cette époque, comme la signature des accords de Paix de Genève mettant fin à la guerre soviétique en Afghanistan ou l’accélération des réformes de Gorbatchev en URSS, montrent une ère de transformation géopolitique mondiale. Ce n’est pas un simple basculement entre deux blocs, mais plutôt un tournant dans la relation des nations avec les forces qui les façonnent.
Nous voyons ici un instant d’intensification : un point de crise où chaque nation doit répondre aux pressions internes et externes, à l’équilibre entre l’ordre ancien et l’émergence d’un ordre nouveau. Les révolutions pacifiques en Europe de l’Est, l’émergence des nouvelles puissances économiques comme le Japon, et l’influence croissante de la Chine, sont tous des indices de cette effervescence cosmique, où les nations ont la possibilité de redéfinir leur destin collectif.
2. Le Quart à 3 Heures : 2020 — Une Nouvelle Ère d’Éveil.
Si 1988 est le MIDI, 2020 marque l’instant du quart à 3 heures du cadran du Natiomètre, où l’accélération des forces globales atteint un nouveau sommet. L’année 2020, symbole d’un monde en crise, incarne un moment de révélation et de réajustement pour les nations. La pandémie de COVID-19 a agi comme un miroir cosmique, révélant à la fois la fragilité et la résilience des nations, mais aussi leur incapacité à répondre collectivement aux défis mondiaux. C’est un appel à l’évolution, à la réorganisation du système mondial, à la reconnaissance que l’ancien paradigme ne suffira plus à guider le monde vers l’avenir.
L’émergence de nouvelles puissances économiques, la montée en puissance des technologies de l’intelligence artificielle et de la biotechnologie, et l’intensification des crises environnementales dessinent le paysage d’un monde en pleine recomposition. C’est un moment d’introspection où les nations doivent prendre conscience de leur propre trajectoire et de l’impact de leurs actions sur l’ensemble du système planétaire. Le Cadran du Natiomètre révèle des nations à des stades variés d’adaptation ou de régression. Les pays qui sont capables de réorganiser leurs structures sociales, économiques et politiques en fonction des nouvelles réalités universelles feront face à un avenir prospère, tandis que ceux qui échoueront dans cette adaptation risquent de sombrer dans un chaos sans fin.
3. L’Inversion des Pôles Magnétiques Solaires : Un Acte Cosmodynamique.
En étudiant les mécanismes profonds qui régissent ce cycle d’évolution, il est essentiel de comprendre l’influence de l’inversion des pôles magnétiques solaires sur le cours des civilisations. Cette inversion n’est pas seulement un phénomène cosmique ; elle incarne un changement dans les forces primordiales qui façonnent l’équilibre des nations. Elle agit comme une décharge énergétique, perturbant l’ordre établi, forçant les peuples à réinventer leur mode de gouvernance, leurs interactions internationales, et leur relation à l’environnement.
Ce phénomène doit être vu à travers l’objectif du Natiomètre, comme un catalyseur de transformation. En 2020, nous observons des signes de cette inversion : une redistribution du pouvoir mondial, l’émergence de nouveaux paradigmes scientifiques et spirituels, et un éveil des consciences collectives face aux défis planétaires. Les nations doivent naviguer dans cette perturbation magnétique, ou risquer de perdre leur ancrage dans le temps et l’espace. Ceux qui sauront aligner leurs trajectoires avec les mouvements cosmiques réussiront à entrer dans une nouvelle phase d’évolution, un âge d’harmonie où la coopération entre nations deviendra essentielle.
Conclusion :
L’Évolution Humaine au Cadran du Natiomètre.
À travers l’analyse du Cadran du Natiomètre, nous avons esquissé une vision de l’évolution des nations qui ne se contente pas de chroniquer les événements, mais qui cherche à les comprendre dans un cadre plus large. Chaque quart du cycle, chaque mouvement des nations sur ce cadran, reflète des interactions profondes avec les dynamiques cosmiques et universelles. Le point MIDI de 1988, avec ses tensions et ses révolutions, et le quart à 3 heures de 2020, avec ses défis globaux et son appel à l’adaptation, ne sont que des étapes dans un voyage beaucoup plus vaste et plus complexe.
L’histoire des nations, vue à travers l’œil du Natiomètre, nous invite à réfléchir sur la place de l’humanité dans l’univers et sur le rôle fondamental de chaque nation dans la création de l’harmonie cosmique. Cette analyse ouvre la voie à une nouvelle compréhension des événements mondiaux, marquant un moment de transition où chaque peuple, chaque nation, doit se réinventer pour entrer dans l’ère d’un équilibre renouvelé. Ce n’est pas un simple récit de l’histoire ; c’est un appel à l’action pour les générations à venir, afin qu’elles puissent écrire un chapitre où l’évolution humaine et les forces cosmiques se rencontrent dans une danse de prospérité durable.
Amirouche LAMRANI.
Chercheurs associés au GISNT.